Brésil 1967
1. VUES DU BRESIL
EGLISE DE STYLE COLONIALE.
FORT COLONIAL.
MIROIR DE L'EAU.
LA VILLE SE MIRE DANS L'EAU.
LA PAUVRETE EXTREME DE NOMBRE DE BRESILIENS CONDUIT A LA MENDICITE.
NOUVELLE CITE POUR RELOGER LES HABITANTS DES FAVELLAS.
AU COURS DE LA DICTATURE MILITAIRE, UN SOLDAT MONTE LA GARDE.
2. RIO DE JANEIRO
ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / ARCHITECTURES BAROQUES COLONIALES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES BAROQUES COLONIALES, PRACA DO BOTICARIO (PLACE DE L'APOTHICAIRE).
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / ARCHITECTURES BAROQUES COLONIALES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / EGLISES ET COUVENTS
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / EGLISES ET COUVENTS
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / EGLISES ET COUVENTS
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / EGLISES ET COUVENTS
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / EGLISES ET COUVENTS
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES / EGLISES ET COUVENTS
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
RIO DE JANEIRO, FUTUR MUSEE D'ART MODERNE.
RIO DE JANEIRO, ARCHITECTURES CARIOQUES
VUES DE LA BAIE
FORETS DA TIJUCA ET VEGETATION
PETIT PORT DE PECHE DE COPACABANA
SCENES DE RUE ET MARCHÉ
SCENES DE PLAGE
ILLUSTRE MARCHAND D'"ABACAXIS" (ANANAS)
RIO DE JANEIRO…
FAVELLA SUR LA PENTE DE L'UNE DES COLLINES DE RIO.
UN BROYEUR DE CANNE A SUCRE.
GROUPE D'URUBUS, OISEAUX DE PROIE.
STATUES PORTANT LE COSTUME DES ADEPTES DE LA MACUMBA.
3. SAO PAULO
ARHITECTURES
INDUSTRIES
4. BRASILIA
VISITE OFFICIELLE A BRASILIA
VISITE OFFICIELLE A BRASILIA
LE PARLEMENT.
ITAMARATI.
CATHEDRALE EN CHANTIER.
THEATRE EN CHANTIER.
